Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Pour une Nouvelle France forte et indépendante
30 mars 2015

Le fabuleux destin de Najat Belkacem, Ministre de l'Education nationale à 37 ans

Le fabuleux destin de Najat Belkacem,
parasite devenu ministre…
Avec sa "gueule d'ange" au sourire figé et si doux...Elle donne toujours l’impression d’une étudiante qui arrive en retard en cours, rentrant sur la pointe des pieds, s’excusant presque d’exister. Elle est souriante, rit bien volontiers des différentes bourdes qu’elle enchaîne  les unes après les autres (comme demander à un médecin légiste si le contact avec ses patients est important dans son travail).
Les uns vantent sa fraicheur, sa spontanéité, d’autres son innocence. Elle apprend le métier sur le tas, avec des yeux d’enfant émerveillée comme elle aime à le dire.
Elle ne connaît rien à rien, mais elle travaille ses dossiers jusque tard le soir en lisant les fiches de synthèse élaborées par ses énarques de collaborateurs.

> >

Tout ceci porterait à sourire s’il s’agissait d’une petite stagiaire gaffeuse qui préparerait son rapport de stage mais c’est bien du Ministère de l'Education Nationale ex porte parole du gouvernement et accessoirement ministre du grotesque Ministère des Droit des Femmes dont nous parlons : Najat Belkacem.

> >

Il fut un temps pas si lointain où ces fonctions étaient réservées à des gens formés à cet exercice. Le poste de porte parole du gouvernement est hautement sensible, il est le tampon entre le gouvernement  et la presse, ce qui nécessite une grande maîtrise de tous les sujets d’actualité (et particulièrement des mécanismes économiques ou financiers par les temps qui courent).
Le porte parole se doit d’être un fin psychologue capable de dire les choses sans les dire, de réparer les déclarations malencontreuses de ses collègues, de démontrer tout et son contraire, bref du cynisme à l’état pur.
Son profil est en général plus proche de Machiavel que de Candy.
Sa nomination est donc probablement due à un parcours universitaire ou professionnel montrant une intelligence ou des aptitudes hors du commun.
Titulaire d’un BAC ES obtenu en 1995 elle obtient une licence de droit à l’université d’Amiens et enchaîne sur Sciences Po (école dans laquelle on  apprend à devenir une Précieuse Ridicule prétentieuse dans la plus pure tradition française).
Vallaud-Belkacem, qui aime à se faire passer pour une sorte de Cosette qui en a bavé pour arriver là où elle est, avoue n’avoir jamais travaillé jusqu’à la fin de sa licence.

> >

Dès son arrivée à Paris elle se voit contrainte de trouver des « jobs étudiants » selon ses termes. On imagine la pauvre Najat trimant au Mc Donald, servant des frites et des hamburgers à un rythme effréné dans une odeur de graillon insupportable.
Il n’en est rien, Najat travaille comme assistante parlementaire, mais comme elle le précise dans un article « il fallait quand même travailler deux jours par semaine ».
À cette époque elle réside à la Cité Universitaire de Citeaux, dans le 12e arrondissement de Paris. Elle y est réputée pour être une capricieuse qui prend systématiquement des taxis, même pour parcourir quelques centaines de mètres (elle aura certainement pris cette habitude auprès d’un de  nos parlementaires qui n’ont aucun respect pour les deniers publics).
Les étudiants en véritable détresse financière apprécieront, j’en suis certain, à leur juste valeur ces précisions.
Mme Vallaud-Belkacem devient ensuite juriste, pendant trois ans, dans un cabinet d’avocat dans lequel sa mission consistait à « vérifier que les décisions rendues par les tribunaux de première instance et de cour d’appel n’étaient pas en contradiction avec la Constitution et d’autres jurisprudences » (tâche sans importance généralement confiée aux stagiaires et autres grouillots dont regorgent les cabinets d’avocats).

> >

Trois années de travail dans le privé auront eu raison de Vallaud-Belkacem.
Le privé c’est sale, ennuyeux  et mal payé  (...) Elle décide donc de militer au PS et parvient, grâce à Gérard Collomb, maire de Lyon, à quitter l’enfer des salariés qui doivent gagner leur vie.
Collomb a bien perçu en elle la possibilité de capter le vote communautaire musulman.  Il lui créée donc sur mesure, dans la plus pure tradition socialiste, un poste de chargé de mission au sein de son équipe.
Sans vouloir apparaître venimeux  plus que de raison, c’est l’intitulé de presque tous les emplois plus ou moins fictifs.
La description du poste est la suivante : «  mener dans le cadre de la politique municipale des actions pour renforcer la démocratie de proximité, la lutte contre les discriminations, la promotion des droits des citoyens ou leur accès à l’emploi et au logement ».
Pour les lecteurs qui ne sauraient pas encore décrypter la vulgate socialiste, nous traduirons par « distribuer des logements HLM aux racailles et à leurs familles, créer des postes de Grand Frère pour les racailles vieillissantes qui ne seraient pas parvenues à percer dans la criminalité organisée et enfin distribuer des subventions à gogo aux associations afin qu’elles envoient les petites racailles en vacance l’été et ne brûlent pas de voiture à Lyon »

> >

Vallaud-Belkacem vient de rejoindre le sérail. Si elle ne commet pas d’erreur, elle pourra devenir une sorte de Jack Lang (véritable ténia de la vie politique française)  et vivre aux crochets de la société dans l’opacité confortable des collectivités territoriales, des cabinets ministériels, des commissions et autres observatoires, tous plus inutiles les uns que les autres.
Vallaud-Belkacem devient ensuite conseiller régional (grâce au vote communautaire musulman), présidente de la commission en charge de la culture de la région Rhône Alpes.
Le mot « culture » s’entend bien entendu au sens socialiste du terme, à savoir rap, tags, street dance, culture des cités (un autre oxymore courant), pseudo écrivains et intellectuels africains, arts premiers. Pour résumer, tout ce qui de près ou de loin œuvre à la destruction notre Culture, la vraie.

> >

Comme tous ceux qui ne savent rien faire, n’ont rien à dire mais veulent exister médiatiquement, elle s’engage à cœur perdu sur les thèmes à la mode de la discrimination, de la théorie du gender "j'ai deux mamans barbues, papa porte une robe et se met du rouge à lèvres" etc...) ,du sexisme dans la société et du vivre ensemble, toutes ces balivernes que la droite traditionnelle n’a pas eu le courage de balayer d’un revers de main de peut d’être taxée de racisme.
Elle mise sur le bon cheval avec Ségolène Royal en 2007, mais n’a pas su changer de canasson au bon moment en 2012. Elle fait ainsi parti du « package » que Royal est parvenue à recaser à droite et à gauche afin que son courant ne disparaisse pas totalement de la vie politique.

> >

François Hollande la choisit pour être porte parole de campagne, puis porte parole du gouvernement et ministre.
Elle arrive même première à la course à qui sera le plus pauvre organisée par Hollande , arborant fièrement un patrimoine misérable. Pourtant elle et son mari Boris Vallaud (même profil parasitaire) vivent aux dépends du contribuable depuis plus d’une décennie.
(...).
Vallaud-Belkacem n’en a pas conscience mais elle est devenue une vache sacrée. Quiconque  met en exergue l’absurdité des positions qu’elle défend devient de facto un misogyne, raciste et élitiste.
(...) Le parcours de Vallaud-Belkacem est susceptible de donner la nausée à tous ceux qui croyaient encore à la méritocratie dans notre pays (s’il y en a encore), j’en conviens.

> >

 
Alain Falento
 
Publicité
Publicité
Commentaires
Pour une Nouvelle France forte et indépendante
Publicité
Archives
Publicité