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Pour une Nouvelle France forte et indépendante
22 mai 2019

Nouveau scandale à propos du SAMU : à Lunéville (Moselle) le SAMU refuse de se déranger !...La malade meurt 1 heure après ...

(suite du titre) : ... le SAMU avait exigé que la malade se déplace par ses propres moyens !... Amenée en voiture par une voisine appelée à son secours, la malade meurt devant le service des Urgences resté impassible !

Réponse du service des Urgences de cet hôpital : "la procédure a été respectée, TOUT EST NORMAL !...  Ces fonctionnaires  prennent les gens pour des c...!

 

La malade qu'on a opérée de la vésicule biliaire il y a 4 jours et renvoyée chez elle le jour même (il faut faire des économies, de préférence sur les "riens" plutôt que sur les ultra- riches proches du Pouvoir élyséen) revient par ses propres moyens parce qu'on a refusé d'envoyer un véhicule sanitaire la prendre chez elle puisqu'elle n'aurait jamais dû quitter l'hôpital le jour même et pour des raisons sordides à n'en pas douter  ! ...  meurt en arrivant devant le service des Urgences , devant le SAMU ! ...

MAIS A PART ça TOUT EST NORMAL, tout va très bien, ON N'A RIEN A SE REPROCHER ! TOUT VA TRES BIEN  TOUT VA TRES BIEN MADAME LA MARQUISE !

 

Refus d'assistance à personne en danger ! Pour l'hôpital il est normal qu'un malade renvoyé chez lui le jour même d'une intervention chirurgicale 4 jours auparavant, revienne à l'hôpital 4 jours après par ses propres moyens et meure pendant le trajet ou  devant le service des urgences du SAMU qui a refusé de se bouger le cul.. !

 

ça porte un nom : "NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER" . Et en plus ils ont bonne conscience !

Ces "soignants" sont des monstres. Ils devraient être licenciés pour faute impardonnable ou changer de métier d'eux mêmes. .

 

Cela me rappelle des remarques honteuses qui m'avaient été faites par une soignante aux Urgences de l'hôpital de Saint- Brieuc en 2002 où je venais d'être amené par les pompiers (et non le SAMU dont la réputation n'est plus à faire) ; en raison d'un accident post- opératoire d'une intervention chirurgicale effectuée 3 semaines auparavant , et alors que je souffrais atrocement au point de ne pas pouvoir retenir des cris de douleur et des appels au secours malgré moi...

J'entendis alors (17 ans après je l'entends encore...)   avec indignation la soignante qui était à quelques mètres de la table opératoire m'apostropher sans ménagement  :  : "C'est pas la peine de hurler comme ça (*), ça n'ira pas plus vite pour autant !" !!!

(*) je ne suis pas sûr qu'elle n'ait pas dit "gueuler" au lieu de "hurler"...  Quel mépris pour la souffrance des patients !

 NB. En 2008 à l'hôpital de Guingamp (22) où ma belle- mêre de 94 ans venait d'être mise en observation après une chute chez elle , j'entendis ainsi que les autres personnes présentes dans sa chambre le médecin la morigéner de la sorte : "Madame ici on n'est pas dans un hôtel ! (elle y était depuis 5 jours en attendant d'être admise en maison de retraite) Chaque journée de votre séjour nous coûte cher ! ..." .... Le surlendemain ma belle- mère mourait à l'hôpital d'une hémorragie intestinale... à n'en pas douter à la grande satisfaction de l'odieux médecin qui lui avait reproché sa présence ! (C'était la seule fois en 40 ans que je  la voyais hospitalisée ! elle n"était jamais malade ! Cet imbécile de médecin avait manqué ne occasion de se taire !

 

Après le scandale de Naomie jeune femme antillaise de 22 ans moquée pour son appel au secours, abandonnée et morte chez elle en décembre 2018 à Marseille où le SAMU avait également refusé de se déranger en ne la prenant pas au sérieux (!) , re-belote cette fois à Lunéville avec ces comportements inhumains de non- assistance à personne en danger du SAMU alors que c'est leur métier même (!)  qui trahit sa mission  de secours aux malades et blessés...

Jusqu'à quand ces scandales continueront- ils ?

 

La ministre de la Santé, Agnès BUZYN, que fait- elle ? Elle s'en f... sans doute, elle est  en campagne sur ordre de son Jupiter de patron pour les élections européennes, c'est plus important que la vie des  "riens" de m... sauf si ce sont des proches ou des amis de Madame la Ministre  !! ... et avec ça on nous ressasse tous les jours la prétendue "lutte contre les inégalités" !.....

Nous sommes tous égaux, mais il y en a qui sont plus égaux que d'autres !!

 

Il y a 20 ans après un accident opératoire d'anesthésie qui avait mis le patient à un cheveu de la mort, un hôpital entier à Paris avec tous ses médecins et chirurgiens avait été mobilisé une semaine entière uniquement pour  se consacrer à sauver la vie du ministre de la Défense de l'époque, CHEVENEMENT !!   (Toujours en vie en mai 2019...)

Par contre les malades anonymes  non membres d'une mafia peuvent crever, le SAMU ne se dérangera pas !!

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© Medisite Lunéville : le Samu ne se déplace pas, une patiente décède devant les urgences

Ce n’est pas la première fois qu’une patiente fait les frais des mégardes du Samu. A 56 ans, Maryse Rabah-Otmani est décédée devant l’hôpital de Lunéville, alors que le personnel hospitalier n’avait pas jugé nécessaire de se déplacer pour la chercher.

Le 14 mars dernier, Maryse Rabah-Otmani, une mère de famille de 56 ans, est hospitalisée à la clinique Jeanne-d’Arc de Lunéville (Meurthe et Moselle) pour une ablation de la vésicule biliaire. A priori, l’intervention se déroule sans complication. La patiente est autorisée à regagner son domicile dans la journée, précise France 3 Grand Est.

Mais 4 jours plus tard, son état se dégrade : Maryse souffre de nausées et sent ses forces la quitter. La mère de famille finit par alerter le 15. Le Samu l’invite alors à se rendre à l’hôpital par ses propres moyens. Véhiculée en voiture par une proche, Maryse rend son dernier souffle devant le sas des urgences lunévilloises.

Après une plainte déposée par la famille, l’Agence régionale de santé ainsi que la justice ont ouvert une enquête. Ce vendredi 10 mai, le procureur de la République de Nancy estime qu’il est encore trop tôt pour qualifier ce drame d’homicide.

La famille de Maryse s’interroge sur la prise en charge par le Samu

L’enquête n’est encore qu’à son début. « Nous avons ouvert une procédure d’enquête pour rechercher les causes de la mort et non pour homicide involontaire, déclare François Pérain, le procureur en charge de l’affaire.

Nous n’avons pas reçu le rapport de l’Institut Médico-légal (IML) de Strasbourg, et je ne sais pas dans quel délai il nous sera adressé. Ce n’est qu’une fois ce rapport déposé – qui n’est pas le rapport d’autopsie- que nous pourrons, au regard des conclusions ouvrir éventuellement une procédure du chef d’homicide involontaire ».

Il faudra donc beaucoup de courage et de patience à la famille de la victime avant d’avoir des réponses. Les proches s’interrogent grandement sur le choix de l’intervention proposée par le Samu. « Peut-être n’en serait-on pas là si une ambulance était venue », exprime l’un des enfants de Maryse.

La procédure a été respectée selon le Samu

Interrogé vendredi dernier, le service d’urgence de l’hôpital Jeanne-d’Arc ne semble pas remettre en question son intervention : « La procédure a été respectée et nous ne ferons pas plus de commentaires ».

En effet, les éléments du dossier précisent que l’interrogatoire médical avait bien été effectué par l’opératrice téléphonique du Samu. De plus, la famille avait accepté de se rendre aux urgences avec Maryse par leurs propres moyens. Un drame qui n’est pas sans rappeler le décès de Naomie Musenga en décembre 2018 qui avait indigné la France entière. Cette jeune fille n’avait pas été prise au sérieux par le Samu et était décédée à son domicile.

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