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Pour une Nouvelle France forte et indépendante
17 mars 2018

La France est-elle gouvernée depuis WASHINGTON DC par le Fonds Monétaire International ?

Action du FMI dans l’économie mondiale

 

Section A

 

Rôle et action générale du FMI  (Extraits de Wikipédia)

1.) Le Fonds Monétaire International (FMI) a été fondé par 44 pays en juillet 1944 par les Accords de BRETTON WOODS, New Hampshire, USA.

En 2018 il compte 189 pays membres dont les USA, la Fédération de Russie et la République Populaire de Chine. Son siège est situé à WASHINGTON D.C.

L’adhésion au FMI permet aux Etats membres d’adhérer ensuite à la BANQUE MONDIALE, également située à Washington D.C.

2.) Le FMI a pour fonction d'assurer la stabilité du système monétaire international (SMI) et la gestion des crises monétaires et financières. Pour cela, il fournit des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant en péril l'organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier (banques, marchés financiers) ou les flux d'échanges de commerce international avec les autres pays.

Lors d'une crise financière, pour éviter qu’un pays ne fasse « défaut » (c’est-à-dire que ce pays ne puisse plus rembourser ses créanciers, voire ne plus payer ses dépenses courantes), le FMI lui prête de l’argent le temps que la confiance des agents économiques revienne. Le FMI conditionne l’obtention de prêts à la mise en place de certaines réformes économiques visant en principe à réguler la gestion des finances publiques (ingérence financière) et à établir une croissance économique équilibrée à long terme.

3.) [NDLR. : en somme, et pour parler clairement, lorsqu’un Etat se trouve plongé dans une crise économique et financière d’une gravité  telle que son économie s’effondre (endettement public astronomique devenu impossible à rembourser aux créanciers, chômage structurel massif, récession, faillites d’entreprises et fermetures d’usines à la chaîne, baisse du pouvoir d’achat des salariés, des retraités, des agriculteurs.. déflation ou inflation…) , cet Etat peut estimer pour tenter de redresser son économie n’avoir plus d’autre issue que de solliciter l’intervention du FMI…

4) Perte de l’indépendance des Etats en perdition, qui passent sous la tutelle du FMI.

Les Etats en difficulté sollicitant l’aide du FMI doivent se soumettre sans conditions à toutes les exigences du FMI. Y compris les plus draconiennes, qui frappent essentiellement   les catégories modestes, moyennes et moyennes sup’ de la population, auxquelles sont imposés des efforts et sacrifices sans fin…, tandis que l’oligarchie au pouvoir continue à  s’enrichir allègrement !

C’est ce qui se produit actuellement en France en 2017/2018 avec la politique économique HOLLANDE amplifiée par celle d’E. MACRON, de facto celle du FMI .

Les salariés, indépendants et retraités modestes et moins modestes sont écrasés par une avalanche continue de nouvelles taxes et impôts par le racket gouvernemental, par la CSG particulièrement qui ampute de 1,83%  les retraites nettes des seniors déjà gelées depuis 5 ans. En revanche les dirigeants des entreprises du CAC 40 annoncent triomphalement, à la mi- mars 2018, un record de 94, 6 Milliards d’Euros de profits (dividendes d’actions)  pour leurs bilans 2017 !!!  ..

Profits provenant en grande partie des très lourds impôts payés par les classes moyennes et moyennes sup’…et des aides massives incontrôlées de l’Etat- Providence sous forme des milliards d’euros (payés par les impôts des contribuables) des CICE et CIR. (Le CIR = 5,5  Milliards€ de crédits d'mpôt en faveur des entreprises, payés par les contribuables...les classes moyennes.

Le CICE (40 Milliards€ versés aux entreprises sur 5 ans, (j'usqu'en 2018) est l’œuvre du président MACRON quand il était secrétaire général adjoint de l’Elysée, puis ministre de l’Economie et de l’Industrie en 2014-2016.

Sa politique économique et financière correspond en tous points à celle imposée par le FMI et ses satellites financiers aux Etats  en crise qui lui demandent son aide, en contrepaertie des prêts qu'il leur accorde. (ex. 10 Milliards € pour renflouer la République de CHYPRE à partir de 2013).

Secret de Polichinelle inavoué pour des raisons de prestige politique par nos Présidents de la République, qui continuent à plastronner devant les Chefs d'Etat de la planète entière: "la France « est la cinquième puissance mondiale » ses troupes d’élite, les seules pour toute l’Europe, combattent le terrorisme islamique sur tous les fronts en Afrique et au Moyen- Orient (Irak, Syrie, Jordanie)"

,  le FMI tient donc la France sous perfusion

En même temps, l’Etat emprunteur au FMI, à la Banque mondiale etc…perd son indépendance économique et financière, donc son indépendance « tout court » … Il tombe sous un protectorat de fait,ou si l’on préfère,la tutelle du FMI et des grandes banques américaines … Le FMI transforme en quelques années son économie en économie « ultra- libérale » du type américain, donc les axes principaux sont :

  • -         déréglementation et libéralisation maximales du droit du Travail pour laisser toute liberté de décision aux employeurs vis-à-vis de leurs salariés,lesquels perdent la plupaert des droits et avantages sociaux qu'ils possédaient auparavant...
  • -         suppression des systèmes de Sécurité sociale étatiques jugés trop coûteux et leur remplacement par des mutuelles privées complémentaires,
  • -         réduction drastique des retraites des salariés du secteur privé et du secteur public (fonctionnaires – et ce conformément aux directives du FMI qui recommandent « une limitation des dépenses liées au vieillissement de la population ».. (donc des montants des retraites, des dépenses de santé : hôpitaux, maisons de retraite, EPAHD, centres pour handicapés…)
  • -         démantèlement des statuts protecteurs des salariés de la Fonction publique et Assimilés (Statut général des Fonctionnaires de 1946, statut des cheminots, d’EDF-GDF) ; pour les « Postes et Télécommunications » devenus SA La Poste et ORANGE SA  c’est déjà fait depuis 1997 par le Premier ministre de l’époque Lionel JOSPIN ( qui se disait "socialiste" !!!)

Et en même temps la France continue depuis des lustres  à emprunter pour financer ses dépenses publiques démesurées et ses déficits…aggravant d’autant la dette publique (# 2300 Mds€ début 2018). Ce qui ne l'empêche pas d'accorder des prêts généreux, qui ne seront jamais remboursés, à ses anciennes colonies d'Afrique et d'ailleurs, alors que pour leur avancer ces prêts, elle est elle- même contrainte d'en emprunter le montant..Gestion aberrante des Finances de la France !

 A qui la France emprunte-telle ?? Les présidents de La République successifs depuis 40 ans jusqu’à l’actuel, E.MACRON ont soigneusement évité  d’en informer les  Français !  De sorte qu’officiellement personne ne le sait !

Mais à qui d’autre que le FMI et ses annexes l’Etat français pourrait- il emprunter des milliards d’euros pour boucler ses fins de mois, payer ses 6,5 millions de fonctionnaires, financer ses dépenses imprévues et cachées (ex. dépenses liées à la corruption générale, aux trafics d’influence, aux confusions d’intérêts des élus petits et grands, à la prévarication qui gangrènent tous les niveaux de l’Etat,  plus les interventions militaires, les prêts à des Etats du Tiers- Monde venus solliciter la France elle- même endettée jusqu’aux yeux ( !)  plutôt que le FMI… on devine pourquoi ces Etats viennent mendier des prêts auprès de la France ! Ils ont 9 chances sur 10 de les voir effacés au bout de 5 années sans avoir jamais rien remboursé !

L’économie de la France est ainsi passée progressivement et en catimini mais très concrètement et dans le silence de plomb des medias, sous la tutelle du « gouvernement mondial » du FMI, avec toutes les conséquences désastreuses que l’on constate pour le niveau de vie, l’’emploi,  les avantages  sociaux que les salariés croyaient définitivement acquis, le pouvoir d’achat et les dangers pour les libertés des Français.

5) Le FMI, Gouvernement mondial de banquiers internationaux non élus par des votes démocratiques, agissant en fonction de leurs seuls intérêts au détriment des classes pauvres, moyennes et moyennes sup’ des pays soi- disant « aidés ». (cf. la chute drastique du niveau de vie en Grèce, à Chypre…et en cours en France !).

Ce que certains qualifient ironiquement de « théorie du complot » correspond bien à une réalité qui ne veut pas dire son nom : celle d’un Gouvernement mondial de facto par la haute finance internationale : le FMI et ses satellites.

L’une des conditions sine qua non imposées par le FMI aux Etats qu’il aide est d’accepter sur leurs territoires les investissements étrangers –principalement américains…et de ce fait, les échanges commerciaux qui pourront alors prospérer selon les lois ou plutôt en l’absence de lois de droit du Travail sinon « la loi du plus fort », telle qu’elle règne dans le système américain ultra- libéral.

Aux USA le droit du Travail est quasi- inexistant … : pas de congés payés obligatoires, pas de salaire minimum, pas de limites au temps de travail, liberté absolue de licencier arbitrairement les salariés- esclaves, sans motif, sans préavis, sans indemnité obligatoire avec tous les abus de pouvoir que cela entraîne..

En France, le MEDEF envie ce système ultra- libéral qui fait disparaître quasiment toute protection légale des salariés et confère aux employeurs un pouvoir absolu.

Ainsi en cas de licenciement abusif d’un salarié, donc résultant d’un abus caractérisé de l’employeur dommageable à l’employé, selon l’ancien droit du Travail appliquant l’article 1382 du Droit civil, le salarié licencié avait droit à la réparation intégrale de son préjudice.

Selon le nouveau régime du droit du Travail, un licenciement  jugé abusif par les Prud’hommes ne donne plus droit au salarié qui en est victime qu’à une indemnité plafonnée à un faible montant ( 1 ou 2 mois de salaire) quel que soit la gravité du préjudice qu’il a subi de par la faute de l’employeur… Auparavant il avait droit au montant intégral de son préjudice ou au minimum à 6 mois de salaire à titre de réparation.

Bien évidemment des dispositions de ce type ne peuvent qu’encourager les employeurs à commettre délibérément des abus à l’encontre de leurs salariés, puisqu’ils ne leur coûteront presque rien ce qui les met à l’abri de toute sanction de leurs abus. ! Voire rien du tout car il va devenir dissuasif pour un ex salarié souvent au chômage, d’intenter une action en justice  obligeant à payer à un avocat des honoraires élevés, pour demander une indemnité d’un montant plafonné ridicule… Alors avec cette « réforme » du droit du Travail qui le détruit, les employeurs auront gagné sur toute la ligne ! 

C’est  donc ce vers quoi tendent les « réformes » du droit du Travail imposées en France depuis la loi- travail EL KHOMRI de 2016 : faire disparaître à la demande instante du MEDEF tous les avantages sociaux acquis par les salariés français du privé et du public depuis 1945, effacer le Statut Général de la Fonction Publique de 1946, inverser la traditionnelle hiérarchie des normes : lois, décrets, conventions collectives de branche, accords d’entreprise, accord d’établissement (à l’intérieur d’une entreprise, d’un groupe).

De façon qu’un accord d’entreprise ou d’établissement prime sur une convention collective ou une loi contraire ! « Réforme » rétrograde s’il en est, contre- révolutionnaire » dont Emmanuel MACRON s‘est déclaré fervent partisan dans son livre « REVOLUTION » de 2016.

Il n’y aura donc plus UN Code du Travail, mais autant de codes du travail que d’accords d’entreprises, c'est-à-dire quasiment des dizaines de milliers, une infinité !!! Cela dépasse l’entendement.

Il n’est pas exagéré de dire que via le FMI et la Banque mondiale, une sorte de « gouvernement mondial » piloté par les USA-  s’est implanté à Washington sous  la surveillance du Gouvernement américain et l’influence des  économistes de l’ultra- libéralisme.

Et ce « gouvernement mondial »  a la capacité de transformer progressivement des pays qu’il assiste,  d’Etats indépendants politiquement en satellites de fait des Etats- Unis, laissant la voie libre aux investissements américains dans ce pays, passé de la sorte dans la zone d’influence américaine.

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(suite des Extraits de Wikipedia)

Section B

6) Les grands axes des réformes exigées par le FMI dans le cadre de l’économie de marché ultra- libérale – le « consensus de Washington »

L'institution du FMI devait à l'origine
garantir la stabilité du système monétaire international, dont l'écroulement après le krach de 1929 avait eu des effets catastrophiques sur l'économie mondiale. Après 1976 et la disparition d’un système de change fixe, le FMI perd l'essentiel de sa raison d'être et hérite d'un nouveau rôle face aux problèmes d'endettement des pays en développement (*) et à certaines crises financières.

(*) Pas seulement des « pays en développement » ! L’endettement de la France a augmenté de 1000 milliards d’euros en 5 ans…En mars 2018 il se chiffre à 2 300 Mds€ ! Et continue d’augmenter !

…Le Président MACRON  n’a pas besoin de demander à …Christine LAGARDE, Directeur général française du FMI, l’intervention du FMI auprès de la France pour éviter son effondrement économique … puisque le FMI et ses satellites interviennent en coulisses en prêtant des crédits à la France depuis au moins 20 ans !.. Et en contrepartie la France applique les mesures structurelles d’austérité - exigées par le FMI mais cela ni HOLLANDE ni MACRON n’abordent ce sujet.

(…)

Là où il intervient, le FMI, avec l’aide d’autres organisations internationales octroyant des prêts (comme la Banque mondiale), négocie donc des plans dits d’Ajustement structurel. Ils consistent généralement à améliorer les conditions de production et d’offre via la promotion des mécanismes du marché.

Parmi les mesures concrètes le plus souvent exigées, on trouve :

 

  • l’ouverture du pays aux capitaux étrangers et au commerce international,
  • la libéralisation du marché du travail
  • et la réduction du poids de l’État, c’est-à-dire la privatisation de nombreuses entreprises.

L’économiste anglais John Williamson a regroupé l’ensemble de ces idées sous le terme de « consensus de Washington », en soulignant qu’elles sont partagées par la plupart des grandes organisations internationales (Fonds monétaire international, Banque mondiale, Organisation mondiale du commerce…) dont la plupart ont leur siège à Washington[9].

  • Ces plans ne prévoient pas de baisses d'impôts,
  • mais en général des baisses de dépenses
  • conjuguées à des hausses d'impôts

afin de rétablir l'équilibre budgétaire des États à problème. Par exemple, au Cameroun, le plan d'ajustement s'est traduit par des hausses de la fiscalité au point que le groupement patronal a dû demander une « pause fiscale » de deux ans pour pouvoir faire face aux nouveaux impôts….

Les interventions du FMI se sont multipliées dans les pays en développement à partir des années 1980 qui virent éclater la crise de la dette du tiers monde, notamment à partir de 1982 et la cessation de paiement du Mexique.

Toutefois le FMI est aussi parfois intervenu dans des pays développés, comme en Corée du Sud à la fin des années 1990.

Depuis 2000, le FMI est devenu de plus en plus impliqué dans des pays développés, comme la Grèce en 2010, 2011; la Grèce (encore), le Portugal, l'Irlande, la Roumanie et l'Ukraine en 2012. En janvier 2012, ces cinq pays étaient les plus grands emprunteurs du FMI.

En 2013, le FMI a monté un sauvetage de 10 milliards de dollars pour le système bancaire de Chypre.

  • L’encouragement à la dérégulation du marché du travail
    • Ø La déréglementation du marché du travail est une idée fréquemment mise en avant par le FMI pour soutenir la croissance économique. Le FMI utilise ainsi l'« indice de protection de l'emploi » (créé par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)), pays par pays, et encourage sa diminution[10].

Nous avons bien lu : « le FMI encourage la diminution de la protection de l’emploi ». (!) Sans commentaire…

 

7) Le cas de la France

[NDLR.- C’est exactement ce que réclame le MEDEF depuis des années.]

  • Ø Il encourage le gouvernement à éviter de nouvelles revalorisations duSMIC, et à limiter les phénomènes de « passager clandestin » pour le versement des revenus d'inactivité.(comprendre : "pour que le moins possible de personnes puissent en bénéficier"...)

[NB. Donc pour le FMI, pour être compétitifs dans le cadre de la mondialisation, les salaires de base en Europe occidentale doivent se rapprocher de ceux des pays « low cost » comme l’Inde, le Sri-Lanka, le Bengladesh !... 2 euros par journée de 10 h ! !!. Les banquiers du FMI ne se demandent pas comment ils pourraient vivre eux- mêmes avec de tels salaires ! Ce n’est pas leur problème.]

 

En juillet 2009, le Fonds monétaire international, alors dirigé par Dominique Strauss-Kahn, publie un rapport sur les finances de la France. Si le rapport note que ce pays « résiste mieux que la moyenne des pays européens », grâce, notamment, à son système de protection sociale étendu,

il recommande par ailleurs de « limiter la hausse des dépenses liées au vieillissement de la population » (pensions, santé),

 

  • Ø prône « la poursuite de la modération dans la hausse du salaire minimum,
  • Ø la réforme de la formation professionnelle et
  • Ø le relèvement de l'âge légal de la retraite pour encourager l'emploi des seniors »[14].

8) Conclusion

On constate que toutes les mesures économiques et financières ou presque les plus négatives en pertes de pouvoir d’achat pour la masse des populations mais préservant celui des 4% de riches , préconisées par le FMI et exposées ci-dessus en rouge, ont été adoptées en France depuis 2012, y compris celles recommandées par une référence aussi « discutable » que Dominique STRAUSS- KAHN.

Passé directement du siège de Directeur général du FMI de Washington  en 2011 derrière les barreaux d’une cellule de  la prison américaine du Bronx à New- York, pour agression sexuelle d’une femme de ménage noire ! :

On peut donc en conclure que la politique économique désastreuse de HOLLANDE, puis celle du président MACRON qui est du HOLLANDE multiplié en pire par CINQ ( !) leur sont  quasiment dictées en coulisses par les directives du FMI et de la Banque mondiale.

Ce qui n’est pas étonnant : Emmanuel MACRON dit « JUPITER » est un banquier de formation sorti du gratin de la haute finance : la nec plus ultra Banque d’affaires ROTHSCHILD, et qui s’entend à merveille avec les milliardaires de la haute finance internationale.(NB. - La banque Rothschild est un vivier de présidents pour la France : en 1962 le général de GAULLE débauchait de cette banque un certain… Georges POMPIDOU pour le nommer Premier Ministre… On connaît la suite.)

Les Français auront pu remarquer que jamais HOLLANDE ni MACRON ne se sont expliqués devant eux dans des émissions de télévision approfondies sur leur politique financière, fiscale, sociale et économique…jamais ils ne leur ont expliqué qu’elle leur était dictée par le FMI et la Banque mondiale de Washington…dirigés par des gens anonymes et non- élus (comme les technocrates de Bruxelles) qui décident d’abord en fonction des intérêts des oligarques les plus riches, et ainsi dépossèdent de façon illégitime le Peuple souverain d’une prétendue démocratie, d’un prétendu Etat de droit.

Quant au Parlement, il est baillonné par les Ordonnances qui lui ôtent toute participation aux décisions « jupitériennes ».

Annexe
(Extrait de Wikipedia )
Consensus de Washington (1990)

Le consensus de Washington est un corpus de mesures d'inspiration libérale appliquées aux économies en difficulté face à leur dette (notamment en Amérique latine) par les institutions financières internationales siégeant à Washington (Banque mondiale et Fonds monétaire international) et soutenues par le département du Trésor américain. Il reprend les idées présentées en 1990, sous la forme d'un article par l’économiste John Williamson1 soutenant dix propositions (voir ci-dessous) fortement inspirées de l’idéologie de l’école de Chicago.

Sommaire

1 Solution-type à la crise de la dette de l’État

 

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