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Pour une Nouvelle France forte et indépendante
16 décembre 2017

Merci pour ce courriel criant de vérité, écrit

Merci pour ce courriel criant de vérité, écrit par des Algériens bien placés pour savoir ce qu’ils dénoncent ! Il traduit par ces Algériens ce que les Français honnêtes pensent de l’Algérie et de la « colonisation » qui obsède les « politiquement corrects », nouveaux tartufes de la pensée de certains milieux français qui hélas sont au pouvoir depuis des décennies ;

En France les auteurs de cet article de la presse algérienne seraient accusés du sempiternel « racisme », comme je l’ai été moi- même et mis au ban de la famille de mon épouse disparue au simple motif que j’avais soutenu dans un mail qu’il fallait supprimer la « réserve parlementaire » et ses abus, notamment la distribution électoraliste de crédits par les parlementaires sur leur « réserve » à des associations musulmanes pour aider à la construction de nouvelles mosquées en France (2600 construites en 40 ans !! …alors que la construction d’églises chrétiennes est interdite dans tous les pays musulmans !!!).

 

Envoyé le :mercredi 13 décembre 2017 18:29
Objet :Fw: TR: Tr : Demandez Le Matin d'ALGERIE

 

 

 

 

  

> Au temps de la   colonisation il n'y avait pas d' O.N.G. Pourqoi ?

>  


  >  Ce   n'est pas en Algérie que ces propos devraient être tenus !

Notre société est empêtrée dans un refus de   nier l'évidence; l'incapacité qu'ont les algériens à s'autogérer n'est pas connue que des pieds   noirs !

Il nous reste la nostalgie, l'impossibilité d'honorer nos morts et   d'embrasser notre terre natale !!!! 

Je n'ai que faire de la nostalgie, mon seul   souci c'est l'avenir de mes enfants et petits enfants. Mais je   n'oublierai jamais le travail énorme qu' ont réalisé nos   aînés dans ce pays de 1830 à 1962, qui était le potager de "LA MERE PATRIE",   et nos vignobles qui permettaient de donner du tonus aux vins de métropole.

Je n'oublierai jamais la présence de l'armée   française pendant 132 ans, et ce dans toute sa globalité. Merci à tous ces   hommes qui ont donné leur vie pour nous.
  >

  
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Objet: TR : Demandez Le Matin   d'ALGERIE
  > > > > >

Ce n’est pas souvent que je félicite   des journalistes et musulmans de surcroît .

 

Mais la direction de ce journal mérite nos félicitations   et nos journaleux en général, s'ils lisent ces lignes, doivent avoir la honte   !

 

Il   faut  être   très hardi pour oser envoyer à la tête de Bouteflika un article pareil.....

 Presse   algérienne 2 juillet 2017 soit 55 ans après l'indépendance...

         
                       
     

Certains journalistes algériens font preuve d'un       très grand courage

     

Le Matin d'Algérie |       lematindz.net

     

www.lematindz.net

     

      > > > > > > > > >     Nous       devînmes pauvres, par inadvertance, un jour d’été particulièrement chaud       où l’on commémorait le cinquante-cinquième anniversaire de       l’indépendance, la fin d’une guerre dont personne ne se rappelait plus si       elle avait été gagnée ou perdue et que le président nous apprit que les       caisses de l’État étaient vides.

     

Ce       jour-là, on revint sur terre : nous voilà pauvres pour longtemps !

     

Au 55è anniversaire de l'indépendance, nous apprîmes que notre pain, nous       l'achetions auprès de l'ancienne puissance colonisatrice !

     

Celle-là       à qui le président algérien, expert en matière de diversion, vient       d'exiger la repentance pour les crimes coloniaux.

(NDLR. - Honte à Emmanuel MACRON, nouveau président de la France à 39 ans qui - erreur de jeunesse d'un éphèbe tel Antinoüs (favori de l'empereur romain Hadrien au IIème siècle ap. JC) novice en politique ? - n'a pas craint de traîner dans la boue son propre pays en l'accusant de façon irréfléchie de "crimes contre l'Humanité" au titre de la colonisation de l'Algérie par la France de 1830 à 1962 !!! )

     C'est  toujours utile de sortir la carte de la mémoire et du patriotisme, quand       on veut noyer le poisson dans l'eau. Bouteflika sait que les peuples sont       incorrigibles : il succombent au premier serment venu. Il suffit de poser       la main sur le Livre ou de parler d’une voix étranglée par l’émotion.       C’est gagné ! Ça marche à tous les coups. Ainsi se gouvernent les hommes…     

Il       convient de savoir faire semblant. Simuler est le seul lien qui unit la       base et le sommet. Simuler le bonheur, la démocratie, la sérénité,       l'amour de la patrie, la piété...

     

Ou,       comme sait si bien le faire le président, invoquer Dieu, le Coran, les       martyrs, la nation en danger...

     

Ce       55è anniversaire de l'indépendance, Bouteflika a préféré parler de       "crise économique grave", d'appeler le peuple à la       "résistance" et d'exiger des dirigeants français qu'il se       repentent de leurs actes de colonisateurs. Oui, mais cela ne résout pas       la question, la seule question qui n'a jamais rencontré de réponse :

     

- Comment       est-on passé d'exportateur de céréales à importateur de pain ?

     

En       1962, la part des hydrocarbures dans les ventes à l'étranger n'était que       de 53 pour cent ! Cela veut dire ce que cela veut dire : 47 pour cent de       nos recettes provenaient de produits hors-hydrocarbures. Aujourd'hui, ce       taux est passé à 3 pour cent !

     

L'Algérie ne produit plus rien, n'exporte plus rien.

     

Et ce   n'est ni la faute de Bigeard ni celle de Massu !

     

C'est la  responsabilité des "libérateurs" qui ont pris le pouvoir en  1962, et dont notre président est un échantillon fort représentatif.

     

 Aucune vision, aucune stratégie, rien que l'exercice absolu du pouvoir.

     

En       près de 19 ans de règne, Bouteflika n'aura pas diminué d'un seul dinar la       facture alimentaire du pays, bien que les caisses de l'Etat n'ont cessé       de déborder de dollars. Huit mille milliards de dollars plus exactement,       de quoi devenir un pays quasi-développé, capable, en tout cas, de se       passer de pétrole.

     

A l'échelle des crimes historiques, condamner 40 millions       d'Algériens à la précarité est-il plus pardonnable que le crime de les       avoir colonisés ?

     

Aucun       président n'a bénéficié d'une si généreuse manne financière. Ce 5       juillet, un président digne de ce nom aurait annoncé à son peuple la fin       de la dépendance pétrolière, la fin du chômage et des incertitudes. Au       lieu de cela, il leur apprend qu'ils seront plus pauvres et sans aucune       politique de rechange.

     

Parce       qu'il n'a pas diversifié l'économie nationale malgré un afflux financier       sans précédent, Bouteflika       laisse une Algérie à l'agonie :

     

 - Dès cet automne, les subventions seront       supprimées, nous       connaîtrons le temps des licenciements de fonctionnaires, des produits de       première nécessité inaccessibles de même que l'électricité, le temps du       retour à la bougie et au charbon de bois, de la réduction des budgets       santé et de l'éducation. mais aussi de l’incertitude sur les versements       des retraites et des prestations sociales.

     

Vous attendez       repentance des dirigeants français pour les crimes du passé.

     

Et vous, M.       Bouteflika, qui vous pardonnera les crimes d'aujourd'hui et de demain ?

     

 La rédaction

     

Qu'il       est loin, et sans retour, le bon temps de la colonisation !

 

 

 

 

     

 

     

glorifié, entre autres, par le philosophe       algérien Boualem Sansal qui       écrivait :

     

 

     

«  Trente ans après l'indépendance, nous       voilà ruinés, avec plus       de nostalgiques que le pays comptait d'habitants, et plus de rapetoux       qu'il n'abritait de colons.

     

Beaucoup d'algériens regrettent le départ des       pieds-noirs, nous aurions, peut-être, évité cette tragédie

     

En un siècle, à       force de bras, les colons ont, d'un marécage infernal, mitonné un paradis       lumineux. Seul, l'amour pouvait oser pareil défi.

     

Quarante ans       est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaitre que ces foutus       colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants »

     
   


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