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Pour une Nouvelle France forte et indépendante
20 mai 2015

Le jeune ministre- banquier, féal du MEDEF-AFEP, soutient le grand patron parjure..solidarité de caste oblige

 

 Un ministre- banquier soutient un  grand patron parjure 

Jules C. César imperator, nommé dictateur en 49 av. JC « s’attaque aux accapareurs et profiteurs de toute situation financière malsaine ; il interdit que les citoyens possèdent plus de  quinze mille drachmes d‘argent ou d’or.. » (« Jules César » par Joël Schmidt, 2005, p.257)

Le site de la Déontologie Financière : www.deontofi.com/

Nous reproduisons des extraits d’un article de la Déontologie Financière  situé à l’adresse ci-dessous

https://deontofi.com/retraites-chapeau-le-tour-de-passe-passe-de-philippe-varin/

Observations liminaires

Le cas de Philippe VARIN ex P.-DG de Peugeot SA jusqu’au 31 mars 2014 après seulement 4 ans et 10 mois de présence effective à la tête de PSA n’est pas de nature à rehausser l’image, peu flatteuse dans l’esprit des Français, de  pirates   sans foi ni loi de la caste privilégiée des « grands patrons », prêts à tout pour s’enrichir de façon indécente.

Ces « grands patrons » non issus par promotion de cadres du personnel de l’entreprise contrairement à la pratique habituelle dans l’industrie allemande, mais parachutés par leurs réseaux d’ «amis » haut placés qu’ils rencontrent dans des Cercles élitistes très fermés de « décideurs ». Grands patrons de groupes du CAC 40, de leurs filiales,  du SBF 120, énarques inspecteurs des Finances  qui « tentent leur chance » dans l’industrie – sans risque car s’ils échouent ils sont automatiquement réintégrés dans leur haute administration d’origine et ne sont jamais sanctionnés pour leur mauvaise gestion).

Tous ces hauts dirigeants (de gauche et de droite confondus)  s’accrochent mordicus à leurs très, très hautes rémunérations qui leur donnent l’impression d’être des demi- dieux au-dessus des lois destinées au commun des mortels,   tels des étoiles filantes ne faisant que  transiter quelques années au firmament des grands groupes industriels…et puis leurs 5 ou 10 ans terminés,  tirent leur révérence en empochant quels que soient leurs résultats le pactole tant convoité.

 Le temps d’amasser « sur la bête » une confortable fortune personnelle la plus énorme possible ( des dizaines de millions d’euros, voire des centaines), même en cas de dépôt de bilan de l’entreprise, de licenciement de milliers de salariés  sous leur  direction :    leur temps de présence est de 4/5 ans quand leurs résultats sont trop  mauvais (ce qui semble avoir été le cas pour Ph. Varin) à 10 ans maximum quand leur nature calamiteuse  n’est pas encore  connue au grand jour.

Ainsi Anne LAUVERGEON, l’arrogante  P.-DG d’AREVA, dirigeante sexiste  anti-mecs et dominatrice, remerciée par N. SARKOZY au bout de 10 ans ; ce n’est qu’après son départ que la situation financière  désastreuse d’AREVA-EDF est révélée, une véritable Bérézina …un accident industriel pire que celui du Crédit Lyonnais il y a 20 ans.

 Anne LAUVERGEON dont le successeur à la tête d’AREVA est…l’ex P.-DG de Peugeot Philippe VARIN !...Lequel n’est nullement « retraité » comme peut se l’imaginer le grand public, ce qui ne l’empêche pas de toucher discrètement ses 300 000 € annuels de « retraite- chapeau » depuis qu’il a quitté Peugeot SA.. le 1er juin 2014.(Alors que le commun des mortels salariés doit attendre au-delà de 60 ans, d’être réellement en retraite,  pour percevoir des retraites qui n’ont rien à voir avec ces retraites princières réservées aux grands patrons.)

On peut  juger par l’article ci-dessous du site Déontologie Financière de l’attitude particulièrement perfide de Philippe VARIN vis-à-vis des Français qu’il s’est employé à mystifier via les chaînes de TV, à « bluffer »,  en leur faisant croire qu’il renonçait avec abnégation à sa retraite- chapeau..

Alors qu’en réalité, on ne l’a appris que début mai 2015,  dès l’annonce de son renoncement il préparait en sous- main, avec la complicité de représentants de l’Etat et de l’AFEP-MEDEF membres de la même caste, de nouvelles conditions contractuelles secrètes « sur mesure »pour lui permettre de bénéficier de cette retraite- chapeau (même si elle a été diminuée par rapport à celle prévue en 2013, qui était de 420 000 €)…

 

Retraites chapeau : le tour de passe passe de Philippe Varin

Publié par Marie-Jeanne Pasquette le 2 mai 2015

                        Exporter en PDF

Vous croyez que le voile est enfin levé sur la rémunération des grands patrons de multinationales ? Vous vous trompez. Les péripéties dont sont capables ces dirigeants pour engranger salaires, bonus, parachutes dorés, golden hello et retraites chapeau, sont incroyables. La cagnotte cachée de l’ex-patron de Peugeot en donne un bon exemple.

Alors qu’il avait pourtant annoncé publiquement renoncer à sa retraite dorée, en novembre 2013, l’ex-patron de Peugeot, Philippe Varin, a bel et bien réussi à se faire verser une rente de multimillionnaire jusqu’à la fin de ses jours. Il recevra 300 000 euros par an, ce qui pourrait coûter à Peugeot une quinzaine de millions d’euros, compte tenu de son espérance de vie et des prélèvements de l’Etat.

 

Comment cet ex-PDG de Peugeot a obtenu de se faire payer en douce une retraite de rentier multimillionnaire, par le constructeur automobile, pour si peu d’années de service ! Alors qu’il n’y avait pas droit, il avait même fait croire qu’il renoncerait à un tel butin !

Philippe Varin a quitté Peugeot mi 2014, mais il aura fallu attendre avril 2015 pour que l’information apparaisse discrètement dans le document de référence de Peugeot SA. Bien sûr, pas un mot n’a filtré sur cette affaire lors de l’assemblée générale du 29 avril 2015. Il ne manquerait plus que les actionnaires soient informés des rémunérations, payées sur leurs deniers à ces précieux dirigeants !

Retour sur une manipulation médiatique de haut vol, à laquelle ont participé les représentants de l’Etat et le Medef.

Le 25 novembre 2013, Philippe Varin est gentiment conduit vers la porte de sortie par le conseil de surveillance du constructeur automobile, toujours présidé par la famille Peugeot.

Louis Gallois, arrivé six mois plus tôt au conseil, est là pour s’assurer que l’Etat, qui a avancé plusieurs milliards d’euros pour sauver le groupe d’une grave crise de liquidité, veille à la bonne gestion des deniers publics mobilisés pour l’avenir de notre industrie et de nos emplois.

Car chez Peugeot, l’affaire est en train de tourner au fiasco : 8000 emplois supprimés et 5 milliards de pertes en 2012, les syndicats sont vent debout contre ce PDG, dont le bilan est jugé désastreux.

Suite de cet article à l’adresse :

https://deontofi.com/retraites-chapeau-le-tour-de-passe-passe-de-philippe-varin/

 

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